Les mots comme un couteau
Qui entaillent et qui blessent
Les gouttes comme un fardeau
Qui pèsent et m’agressent
La pluie a sillonnée de mon œil à mon cou
Ou était-ce une larme dont j’ai senti le gout
Dame nature cruelle, à ses heures perdues
Abandonne sans pitié les âmes éperdues
Il est des événements qui ne devraient pas être
Et des répétitions que je ne voudrais pas voir
Il existe des mots que je ne voudrais pas lire
Ce sont souvent les mêmes que je n’aime pas écrire
Lever mon bouclier, mettre ma carapace
Cela n’est pas acceptable devant la vie qui passe
07 juin 2012