mardi 26 février 2013
Non
Allait-il me dire oui
Un oui tonitruant
Un oui tout murmurant?
Allait-il me dire oui
Un oui qui vient s'échouer
Ou un oui qui s'élève?
Allait-il me dire oui
Un oui qui s'atrophie
Un oui qui s'amplifie?
Alors comment le dire
S'il est facile d'écrire
Alors comment l'entendre
Si difficile de prendre
Et s'il ne disait rien...
Oh!
vendredi 22 février 2013
Nuit
Propre et lisse je me glisse dans cet imperceptible interstice
M'effleure et me frôle cette douce pelisse
Plissements, froissements a mon oreille crissent
Fraîchement l'enveloppe se hérisse
Vagues naissantes sur ma peau frémissent
jeudi 21 février 2013
Drôle d'époque ...
... Où
l’innommable aura frappé à la porte , chamboulant sur son passage
leurs vies, nos émotions, nous forçant à revoir nos opinions, notre manière
d’appréhender la vie.
La
vie qui est trop courte, trop précieuse, trop belle. Trop unique.
La
vivre est ce que nous nous devons. Le
compromis jusqu’à l’oubli de soi n’est pas acceptable.La
solidarité est un mal nécessaire qui demande parfois bien du courage. Ce manque
de courage que nous camouflons parfois sous un vernis d’égoïsme et
d’individualisme forcené.
Faire
le choix de ressentir, c’est aussi faire le choix de souffrir. Mais ces
souffrances ne sont que le fruit et le pendant des bonheurs pleins que nous
osons prendre. Ne pas vivre à moitié.
Vivons !
Vivez !
Il
n’y a pas de temps à perdre et prendre le temps est un luxe nécessaire. Un des
nombreux paradoxes de la vie, une thèse et son anti-thèse.
A
celle qui a encore la chance de regarder la vie qui passe.
A
ceux qui sont partis trop tôt.
A
celle qui va devoir combattre.
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